Thomas GIRAUD
Notaire - ANNECY
Actualités du notariat
L'OFFICE VOUS INFORME
ACTUALITÉS
02/10/2025
Semaine de la médiation du 10 au 18 octobre
17/09/2025
L'encadrement en zones tendues est reconduit pour un an
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Entré en vigueur le 1er août dernier, un décret du 15 juillet 2025 prolonge le dispositif destiné à enrayer la hausse des loyers dans les grandes agglomérations, jusqu’au 31 juillet 2026.
Pour rappel, l’encadrement concerne les habitations louées vides ou meublées à usage de résidence principale, situées dans les territoires où il existe un déséquilibre marqué entre l’offre et la demande de logements.
Il s’applique en cas de relocation à un nouveau locataire ou de renouvellement du bail, signé entre le 1er août 2025 et le 31 juillet 2026.
12/09/2025
Diagnostic de performance énergétique : les nouveautés 2025
12/09/2025
Adaptation au risque de retrait-gonflement des sols argileux
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L’Etat met en place, à titre expérimental, une aide à la prévention dans onze départements.
Servie sous forme de subvention, l’aide permettra aux propriétaires occupants de leur résidence principale, de financer la réalisation de diagnostics et de travaux préventifs. Elle est expérimentée dans les départements suivants : Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Dordogne, Gers, Indre, Lot-et-Garonne, Meurthe-et-Moselle, Nord, Puy-de-Dôme, Tarn et Tarn-et-Garonne.
Elle sera attribuée sous conditions de ressources à ceux qui vivent dans les zones les plus fortement exposées au risque de retrait gonflement d’argile.
« L’objectif est de tester et d’évaluer les solutions les plus efficaces, dans la perspective d’une éventuelle généralisation de ce dispositif, » explique le ministère de l’aménagement du territoire et de la décentralisation, dans un communiqué publié, sur son site le 8 septembre dernier.
Les missions du notaire
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Les victoires d'Oléron sur les plateformes d'hébergements touristiques - 04/09/2025
Et de deux ! Après avoir fait condamner Airbnb à lui verser plus de 8,6 millions d’euros pour manquement à ses obligations relatives à la taxe de séjour, la communauté de communes de l’île vient d’obtenir du tribunal judiciaire de La Rochelle la condamnation de la plateforme Leboncoin.
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Et de deux ! Après avoir fait condamner Airbnb à lui verser plus de 8,6 millions d’euros pour manquement à ses obligations relatives à la taxe de séjour, la communauté de communes de l’île vient d’obtenir du tribunal judiciaire de La Rochelle la condamnation de la plateforme Leboncoin.
Le jugement a été rendu le 29 juillet dernier. Il prononce des amendes civiles d’un montant de 400 000 euros à l’encontre de la plateforme pour défaut de déclaration, de collecte et de reversement de la taxe de séjour à la communauté, pour 384 séjours réservés entre 2020 et 2022.
Pour rappel, depuis la loi de finances de 2020, les plateformes d’hébergements touristiques doivent en effet répondre à ces obligations pour leurs hôtes non professionnels. Les locataires se voient imposer une taxe de séjour dite « au réel », calculée sur le nombre de nuits réellement louées. A Oléron, le tarif est de 5% du coût de la nuitée par personne.
Dans l’affaire opposant la communauté de l’île à Airbnb, la justice avait estimé qu’un tel manquement était d’autant plus répréhensible que le recouvrement de la taxe servait à financer les dépenses nécessaires à l’afflux des touristes pendant la haute saison.
Alors que la communauté de communes d’Oléron engage une troisième bataille contre Booking, plusieurs de ces communes prennent en parallèle des mesures pour préserver leur parc de logements telles qu’une modification du plan local d’urbanisme en instaurant des servitudes de résidences principales sur des zones encore constructibles, des quotas de locations touristiques ou le versement de subventions aux propriétaires acceptant de louer toute l’année.
Parution de la nouvelle édition du Guide des générosités 2025 - 11/09/2025
Vous souhaitez soutenir une cause qui vous tient à cœur, transmettre un patrimoine à une œuvre ou simplement mieux comprendre les possibilités offertes en matière de dons ? Les notaires, garants de la sécurité juridique de vos projets, mettent à votre disposition un outil de référence : le Guide des générosités 2025.
Concours des Lycées agricoles 2025/2026
Le Conseil supérieur du notariat invite, comme chaque année, tous les établissements d’enseignement agricole à participer au concours des lycées agricoles, en partenariat avec le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. Le thème retenu pour l'édition 2025/2026 : Quelle gestion des risques possibles en agriculture sur votre territoire ?
Transmission de biens ruraux, hausse des seuils de l'exonération partielle - 29/08/2025
Le 13 août dernier, le Bulletin Officiel des Finances Publiques (bofip) a actualisé les seuils au-delà desquels l’exonération des droits de mutations passe de 75 à 50%.
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Le 13 août dernier, le Bulletin Officiel des Finances Publiques (bofip) a actualisé les seuils au-delà desquels l’exonération des droits de mutations passe de 75 à 50%.
Ces derniers ont été revus à la hausse. L’exonération des droits de donations et de successions portant sur des biens ruraux et/ou des parts de groupements fonciers agricoles est de 75 % jusqu’à 600 000 € (contre 300 000 € auparavant) et de 50% au-delà, à condition de conserver l’actif pendant 5 ans à compter de la date de transmission.
Ce seuil a été porté à 20 000 000 € lorsque le bénéficiaire s’engage à conserver le bien pendant 13 années supplémentaires, soit une durée totale de conservation de 18 ans.
Le bofip intègre ainsi les dispositions de l’article 70 de la loi n° 2025-127 du 14 février 2025 de finances pour 2025, codifiées à l’article 793 bis du code général des impôts.
Notez qu’une réponse ministérielle publiée le 8 avril dernier a rappelé que ces dispositions concernaient également les transmissions pour lesquelles la conclusion du bail était intervenue avant le 1er janvier 2025, précision devant être intégrée dans le projet de loi de finances pour 2026.
Apostille et Légalisation - 27/08/2025
Adoption de la loi visant à réduire et à encadrer les frais bancaires sur succession - 26/08/2025
Locataires défaillants, une saisie sur salaire gérée par les commissaires de justice - 20/08/2025
Depuis le 1er juillet 2025, les bailleurs peuvent mandater un commissaire de justice (anciennement huissier) pour obtenir plus rapidement le règlement des impayés de loyers, via une saisie sur salaire.
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Depuis le 1er juillet 2025, les bailleurs peuvent mandater un commissaire de justice (anciennement huissier) pour obtenir plus rapidement le règlement des impayés de loyers, via une saisie sur salaire.
Auparavant, la procédure de saisie sur salaire relevait des greffes des tribunaux judiciaires. Elle impliquait une audience de conciliation devant le juge, suivie d’un envoi par le greffe d’un acte de saisie à l’employeur. Ce dispositif caractérisé par un contrôle a priori du juge de l’exécution disparaît au profit d’une procédure dans laquelle le commissaire de justice conduit les opérations d’exécution.
Dès lors, le bailleur impayé peut directement s’adresser à un commissaire de justice sur présentation d’un titre exécutoire tel qu’un bail notarié. Le commissaire de justice délivre ensuite un commandement de payer au locataire défaillant qui dispose d’un mois pour régler sa dette, trouver un accord avec son bailleur ou contester ce commandement en justice. La saisine du tribunal suspend la mise en œuvre de la procédure, jusqu’à ce qu’il rende sa décision.
En l’absence de paiement, d’accord ou de contestation, le bailleur dispose de trois mois pour faire signifier, par le commissaire de justice, le procès-verbal de saisie auprès de l’employeur.
La mesure est inscrite à l’article 47 de la loi n°2023-1059 du 20 novembre 2023 d’orientation et de programmation du ministère de la Justice 2023-2027, codifiée aux articles L. 212-2 à L. 212-14 et R. 212-1-1 à R. 212-41 du code des procédures civiles d’exécution.
Travaux d'isolation, une baisse de la consommation d'énergie moins importante que prévue - 14/08/2025
Selon une étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique, publiée le 7 juillet dernier, ces travaux effectués grâce à MaPrimeRenov’ et aux certificats d’économie d’énergie, ne permettent pas de dégager les réductions espérées.
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Selon une étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique, publiée le 7 juillet dernier, ces travaux effectués grâce à MaPrimeRenov’ et aux certificats d’économie d’énergie, ne permettent pas de dégager les réductions espérées.
En moyenne, les gestes d’isolation entraînent une diminution de la consommation d’énergie de 8,9 % pour les maisons chauffées au gaz et de 5,4 % pour les maisons chauffées à l’électricité. Ces proportions représentent 47 % de celles estimées pour le gaz et 36 % de celles prévues pour l’électricité.
L’étude s’est appuyée sur un échantillon d’environ 80.000 maisons individuelles occupées par leur propriétaire. Elle s’est concentrée sur les travaux d’isolation thermique des logements (murs, toiture et ouvertures), excluant les autres gestes d’amélioration énergétique, en particulier les rénovations globales et le changement de chauffage.
Pour les auteurs de l’étude, deux facteurs pourraient expliquer ce décalage entre la baisse théorique de la consommation estimée à la suite des travaux de celle effectivement dégagée après leur réalisation. Le premier tiendrait aux travaux effectués qui seraient finalement moins conséquents ou moins qualitatifs que ceux prévus. Le second serait relatif au comportement des ménages qui « à facture constante » auraient pu augmenter la température de leur chauffage.
Ces travaux permettent toutefois de dégager des points positifs puisqu’ils montrent une stabilité de la réduction de la consommation d’énergie dans le temps observé (pendant 16 à 18 trimestres après leur réalisation) ainsi qu’une diminution plus importante de la consommation lors des mois de chauffe, en automne et en hiver.
Par ailleurs, ils indiquent une efficacité plus grande des travaux d’isolation des murs et des combles que ceux portant sur les parois vitrées dans les maisons chauffées à l’électricité, « ce qui peut venir d’un manque de précision dans l’estimation, » reconnaissent les auteurs de l’étude, peu de ménages ayant réalisé ce dernier geste. En ce qui concerne le gaz, tous les gestes conduisent à une réduction significative de la consommation.
Habitat dégradé, l'expérimentation du bail à réhabilitation - 07/08/2025
Un décret paru au Journal officiel le 8 juillet dernier, vient préciser la mise en œuvre de cette expérimentation permettant aux propriétaires soumis à une obligation de travaux au titre de de la sécurité et la salubrité des immeubles, d’opter pour un bail à réhabilitation.
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Selon une étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique, publiée le 7 juillet dernier, ces travaux effectués grâce à MaPrimeRenov’ et aux certificats d’économie d’énergie, ne permettent pas de dégager les réductions espérées.
En moyenne, les gestes d’isolation entraînent une diminution de la consommation d’énergie de 8,9 % pour les maisons chauffées au gaz et de 5,4 % pour les maisons chauffées à l’électricité. Ces proportions représentent 47 % de celles estimées pour le gaz et 36 % de celles prévues pour l’électricité.
L’étude s’est appuyée sur un échantillon d’environ 80.000 maisons individuelles occupées par leur propriétaire. Elle s’est concentrée sur les travaux d’isolation thermique des logements (murs, toiture et ouvertures), excluant les autres gestes d’amélioration énergétique, en particulier les rénovations globales et le changement de chauffage.
Pour les auteurs de l’étude, deux facteurs pourraient expliquer ce décalage entre la baisse théorique de la consommation estimée à la suite des travaux de celle effectivement dégagée après leur réalisation. Le premier tiendrait aux travaux effectués qui seraient finalement moins conséquents ou moins qualitatifs que ceux prévus. Le second serait relatif au comportement des ménages qui « à facture constante » auraient pu augmenter la température de leur chauffage.
Ces travaux permettent toutefois de dégager des points positifs puisqu’ils montrent une stabilité de la réduction de la consommation d’énergie dans le temps observé (pendant 16 à 18 trimestres après leur réalisation) ainsi qu’une diminution plus importante de la consommation lors des mois de chauffe, en automne et en hiver.
Par ailleurs, ils indiquent une efficacité plus grande des travaux d’isolation des murs et des combles que ceux portant sur les parois vitrées dans les maisons chauffées à l’électricité, « ce qui peut venir d’un manque de précision dans l’estimation, » reconnaissent les auteurs de l’étude, peu de ménages ayant réalisé ce dernier geste. En ce qui concerne le gaz, tous les gestes conduisent à une réduction significative de la consommation.
Nouveau rebondissement pour MaPrimRenov' - 31/07/2025
Le dispositif d’aide à la transition énergétique pour les rénovations globales, qui rouvrira fin septembre, sera restreint.
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Le dispositif d’aide à la transition énergétique pour les rénovations globales, qui rouvrira fin septembre, sera restreint.
Si rien ne change pour les travaux isolés (parcours par geste) et en ce qui concerne les copropriétés, jusqu’à la fin 2025, le soutien financier aux rénovations globales sera limité à compter du 30 septembre et jusqu’à la fin de l’année. Ces restrictions ont été annoncées par la ministre chargée du logement, le 22 juillet dernier.
Il sera d’abord réservé aux ménages très modestes, voire modestes, l’ouverture à ceux disposant de revenus intermédiaires restera suspendue aux discussions du budget pour 2026.
L’aide sera ensuite accordée uniquement pour les logements les plus énergivores, classés E, F ou G au diagnostic de performance énergétique (DPE) et verra le plafond de travaux sur lequel est calculé le pourcentage de la subvention, abaissé de 70 000 à 30 000 € lorsque la rénovation permettra de grimper de deux classes au DPE (40 000 € pour celles qui réussissent à en gagner trois). Quant au bonus de subvention de 10 %, en principe alloué en cas de sortie de la catégorie des passoires énergétiques (note F ou G au DPE), il sera tout simplement supprimé.
Notez enfin qu’un quota de demandes a été fixé à 13 000 dossiers qui, lorsqu’il sera atteint entraînera la fermeture de la plateforme jusqu’à la fin de l’année.
Note de conjoncture immobilière des Notaires de France - Juillet 2025
Note de conjoncture immobilière - 24/04/2025
Retrouvez les Notaires de France sur Go Entrepreneurs les 9 at 10 avril - 01/04/2025
Go Entrepreneurs est un événement qui réunit chaque année l’écosystème entrepreneurial.
Créateurs et dirigeants d’entreprise, les Notaires de France sont présents pour vous conseiller dans les moments clés de votre vie d’entrepreneur :
la création, le développement, la protection de votre patrimoine, la cession-transmission.
Les Notaires de France vous accompagnent pour concilier situation personnelle et professionnelle.
Les Notaires de France participent au Salon "S'expatrier, mode d'emploi" - 17/03/2025
Un projet d'expatriation ? Vous êtes déjà à l'étranger ?
Vous vous posez une montagne de question droit, santé, travail, retraite ?
Anticiper est indispensable !
Rendez-vous le mercredi 26 mars de 9h à 18h pour une journée dédiée à l'expatriation à la Cité internationale universitaire de Paris !
S’expatrier mode d’emploi est le seul salon qui réunit les acteurs incontournables de l’expatriation et de la mobilité internationale.
02/10/2025
Révision du zonage, plus de 450 communes reclassées
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Un arrêté publié le 6 septembre dernier au Journal officiel, actualise le classement des territoires marqués par un déséquilibre entre l'offre et la demande de logements.
La majorité des changements concerne des reclassements vers des zones plus tendues. 468 communes voient ainsi leur classification évoluer à la hausse : 147 ont été reclassées en zone B2, 247 en zone B1, 64 en zone A et 10 en zone A bis.
A l’inverse, 19 communes ont été déclassées, sur leur demande.
Pour rappel, le classement détermine les aides à l'investissement locatif et à l'accession à la propriété telles que le prêt à taux zéro, le bail réel solidaire, le prêt social location-accession, ainsi que les réductions d'impôt attachées aux dispositifs Denormandie et Loc'Avantages.
Anticiper sa succession : protéger sa famille avec son notaire
La France entre dans une période inédite. Avec le vieillissement des générations du baby-boom, une part considérable du patrimoine national (immobilier, financier et professionnel) va changer de mains dans les prochaines décennies. Les économistes parlent désormais de « grande transmission ». D’ici 2050, près de 7 000 milliards d’euros devraient être transmis, soit la moitié du patrimoine des ménages (France Stratégie, 2021). Ce mouvement n’est pas seulement une affaire de chiffres : il interroge aussi nos familles, nos solidarités et notre capacité à préparer l’avenir
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Héritage : un volume de successions sans précédent
Chaque année, plus de 650 000 successions s’ouvrent en France, et ce chiffre augmentera encore avec le vieillissement de la population (INSEE, 2023). Derrière ces statistiques, se joue souvent une question décisive : la différence entre une transmission subie et une transmission choisie.
Une succession subie peut créer des tensions, des déséquilibres, voire des litiges. À l’inverse, une succession anticipée et préparée permet d’exprimer ses volontés, de protéger ses proches et de donner du sens à la transmission de son patrimoine.
Hériter plus tard, un défi pour les jeunes générations
On hérite désormais après 50 ans en moyenne. Pour les jeunes générations, l’héritage n’arrive plus comme un tremplin, mais comme un complément tardif. Et les écarts se creusent :
50 % des Français recevront moins de 70 000 € au cours de leur vie,
10 % hériteront de plus de 500 000 €,
une minorité touchera plusieurs millions (Piketty, 2019).
Ces inégalités renforcent l’importance d’une transmission réfléchie et équitable.
Le rôle clé du notaire dans la transmission du patrimoine
Préparer sa succession, c’est d’abord reprendre la main sur l’avenir de son patrimoine. Le notaire accompagne cette démarche en proposant des solutions adaptées : donations, assurance-vie, démembrement de propriété, pactes successoraux…
Son rôle n’est pas seulement technique ou fiscal : il est aussi humain. Il aide à clarifier les volontés, à équilibrer les intérêts des héritiers, et à transformer une étape souvent redoutée en un projet de transmission réfléchi et apaisé.
3 bonnes raisons d’anticiper sa succession avec votre notaire
1/ Éviter une transmission subie en exprimant clairement vos volontés.
2/ Réduire la fiscalité grâce à des outils juridiques adaptés.
3/ Préserver l’harmonie familiale en limitant les sources de conflits.
Anticiper sa succession avec son notaire, c’est garantir une transmission choisie, apaisée et fiscalement optimisée. C’est aussi l’assurance que votre patrimoine servira vos proches selon vos volontés, dans un esprit de protection et de continuité familiale.